Aujourd'hui vous nous présentez un plan de relance de l'enseigne MOOD, basé sur une diminution de la moitié du réseau.
Nous sommes très inquiets pour l'avenir de ces salariés qui vous ont fait confiance et que l'entreprise a conforter, à l'époque, dans leur décision, et ce, malgré les nombreuses réserves émises quant à la rentabilité et donc quant à la pérennité de cette nouvelle enseigne.
Nous attendons, de la direction une réelle implication et une vraie anticipation afin d'éviter au maximum des risques importants de RPS.
Vous vous devez d'être à la hauteur de cette confiance, en proposant à chacun un accompagnement personnalisé en adéquation avec leurs désidératas, en réponse à leur investissement et à la certification qu'ils ont obtenue. Le retour en arrière ne doit pas être, pour la CFTC, la seule option.
D'autre part, nous avons apprécié que la direction ait répondu positivement à notre demande de diffuser une note dans le cap info du 12 novembre clarifiant la prise en charge des salariés suivant les différents cas de figure liés au COVID (cas covid, cas contact et personnes vulnérables) toutefois vous y parlez de prise en charge en faisant référence au salaire. Mais de quel salaire s'agit-il ? celui avec ou sans les incentives?
C'est pourquoi, pour ce deuxième confinement, la CFTC revendique, une nouvelle fois, la prise en compte de la part variable au calcul le plus avantageux pour tous les salariés de la GDT. Les ratios et la motivation étant bien au rendez-vous, les salariés ne doivent pas être pénalisés par le manque de flux qui est indépendant de leur volonté.
Les élus CFTC au CSE GDT.